Pourquoi le WSOP a été créé ?

Le tournoi mondial WSOP a été créé à l’initiative de Benny Binion en 1970, car il voulait déterminer qui est le meilleur joueur à l’échelle internationale. C’est ainsi qu’il a invité de grands noms du jeu à éprouver leurs talents au WSOP. A cette époque, il n’y avait que le Main Event, et il rassemblait au moins 30 joueurs. Les tout débuts du WSOP mémorisent également des années de gloire pour Phil Hellmuth, une grande figure du Poker qui remporté 13 bracelets au Main Event en 1980 où il est arrivé une cinquantaine de fois à la table finale du WSOP.

Les différents tournois de Poker

À chaque édition de World Series of Poker, les organisateurs prévoient au moins une cinquantaine de tournois, dont les plus populaires sont le Main Event, le No-Limit, le HORSE, le Limit Hold’em ou encore l’Omaha Pot Limit. Il faut savoir que ces tournois ont également des variantes, tel le cas du No-Limit qui propose des catégories Monster Stack, Shoutout, Mixed-Max, Triple Chance ou encore Ladies. Les frais de participation à ces genres de tournois sont également très variés. Ils peuvent aller de 500 dollars à 1000 000 de dollars.

Un pari sportif interdit en France

La première chose à savoir sur le Betting exchange est qu’il est interdit en France depuis l’année 2010. Ce type de pari est également appelé Bourses de paris en français ou Exchange de paris. Les paris se font entre particuliers et ne nécessitent pas l’intervention d’un bookmaker en Betting exchange.

Les possibilités de mise sur Betting Exchange

Vous pouvez faire 2 types d’action en Betting exchange : le Back et le Lay. Le Back a le même principe que le pari sportif classique, sauf que la cote proposée sur le pari est émise par un autre parieur et non un bookmaker. Quant au Lay, c’est vous qui prenez la place du bookmaker en proposant la cote que dans le sens où telle équipe perdra le match.

Les avantages du Betting exchange

Le Betting exchange a pour premier avantage la proposition de cotes plus compétitives et plus intéressantes que chez un bookmaker de pari sportif classique. La valeur des commissions à verser est également moins élevée que chez un bookmaker. En effet, le Betting exchange exige 5% des montants gagnés au lieu des 10% chez les bookmakers.

Quelques inconvénients

À part le fait que ce soit interdit en France, le Betting Exchange possède d’autres inconvénients. Notamment, que vous ne pourriez parier que s’il existe un autre parieur prêt à échanger et parier en inverse. De plus, il vous sera impossible de faire des paris combinés, la seule option est de parier sur un événement à la fois. En ces termes, vous pourrez croire que c’est simple de parier sur Betting exchange, mais c’est nettement plus compliqué. Enfin, la bourse de paris provoquerait plus d’addiction et de risques financiers chez les joueurs que les autres types de paris sportifs.

Passible d’IR ou d’ISF

Selon l’importance de vos gains et de la fréquence lors d’un jeu d’argent, vous pourrez être passible d’impôts de solidarité sur la Fortune (ISF) ou d’impôt sur le revenu (IR). L’ISF s’impose seulement pour une fortune dont la totalité dépasse les 1.3 Million d’euros.

Pour le Poker et le Bridge

Le Poker et le Bridge sont des jeux d’argent considérés comme des jeux de stratégie, et ne sont pas de pur hasard. C’est pour cela qu’ils peuvent être imposables et passibles d’IR, mais à condition que le joueur soit un professionnel. Cette qualification concerne les joueurs dont la principale entrée d’argent vient du poker ou du bridge et dont les gains sont importants et réguliers.

Pour les jeux hippiques

Même si les gains obtenus par les joueurs hippiques (course de chevaux, course en ligne…) ne sont pas passibles d’IR, il est nécessaire de les déclarer. Cela concerne les gains importants et réguliers surtout. Le Fisc pourrait ne pas apprécier de découvrir l’existence d’un tel gain par lui-même dans le cas où ces gains seraient équivalents d’un revenu mensuel.

Pour les jeux de pur hasard

Si le joueur est plutôt adepte des jeux de pur hasard, comme le Loto ou Euromillions, il faut s’attendre à des taxes. Ses gains ne sont pas imposables, mais doivent être déclarés comme patrimoine à partir de 1,3 million d’euros selon l’ISF en vigueur. Plus précisément, vous serez taxé de 0,5% à partir d’une somme de 800milles Euros à 1,3 million d’euro. Il existe un barème de L’ISF qui règlemente le taux de taxe que le gagnant devra payer en fonction de sa fortune nette. S’il décide d’investir, de placer ou de donner ses gains à la famille, d’autres taxes viendront.

La stratégie d’Alembert

La stratégie d’Alembert est simple : l’objectif est de pouvoir se constituer un gain même s’il est à prévoir des pertes et des gains après plusieurs mises. Concrètement, le joueur a pour tactique d’augmenter sa mise d’une unité après une perte et de la diminuer d’une unité lorsqu’il a un gain. Si par exemple vous misez sur un « Noir » pour 10 euros et que vous perdez. Pour le prochain tour, vous misez encore sur le « Noir » mais pour 11 euros cette fois-ci. Par contre, vous diminuez d’un euros s’il y a eu un gain.

La stratégie de la martingale

Pour cette stratégie, vous devrez prendre les risques de doubler la mise après une perte en tenant compte que vous avez une chance sur deux de perdre ou de gagner. Concrètement, si vous choisissez par exemple une couleur, soit vous gagnez soit vous perdez. Si vous rester sur ce choix mais en doublant la mise après une perte, vous augmentez vos chances de gagner.

La stratégie de James Bond

Qui ne connait pas James Bond et qui n’aimerait pas piquer ses stratégies ? Pour ce faire, prévoyez environ 250 € pour appliquer ses tactiques. Vous allez faire plusieurs paris sur une colonne. Par exemple, vous aller miser 140 € sur un nombre élevé compris entre 19 et 36. Vous descendez la mise à 50 € pour un numéro compris entre 13 et 18 €. Enfin, misez sur le nombre 0 pour une valeur de 10 €. Vous constaterez que vous optimiserez vos chances en agissant ainsi. Toutefois, arrêtez-vous dès que vous aviez obtenu un gain, au risque de vous dépouiller de votre pactole dans les prochaines mises !

Parier de façon intelligente

Il est recommandé de parier intelligemment et de maximiser ses possibilités de gains. On doit comparer les performances de chaque cheval pour en soustraire le meilleur. Le parieur est également dans l’obligation d’avoir une bonne gestion de son argent et ses mises. Il faut ajuster ses mises à la crédibilité et au danger d’un pari.

Récolter des informations

La vraie arme d’un turfiste est l’information. Pour cela, il doit récolter les renseignements de chaque cheval sur le net, les journaux dédiés aux courses, les émissions télévisées ainsi les recommandations des autres parieurs. C’est par la suite qu’il va faire le tri entre les données qu’il a pu amasser.

Faire une bonne analyse

C’est l’une des étapes les plus importantes dans cette liste d’astuce. Elle consiste à établir le papier, selon l’expression utilisée dans le milieu. Plus précisément, le parieur devra faire une comparaison des chevaux alignés sur une même épreuve dans le but de les placer dans l’ordre le plus possible de leur arrivée. Divers paramètres doivent être tenus en compte à cet effet pour ne citer que l’état du cheval, la distance sur le quel il se sent à l’aise, la nature du terrain, ou encore la réputation du jockey. L’analyse de ces divers facilite la détermination des chevaux qui ont la chance d’être placés.

Apprendre des échecs

C’est un point à ne pas négliger. Quand le parieur voit que la chance lui sourit fréquemment, il doit également s’attendre à perdre un jour ou l’autre. Si la situation se présente, la meilleure attitude à adopter est de reconnaitre l’échec et en apprendre de ce dernier. Il doit examiner et décortiquer les raisons de cet échec afin de gagner en expérience.